Suite à l’expulsion dimanche matin de la maison du peuple après sa réoccupation de vendredi après midi, une manifestation réunissant près de 500 personnes a déambulé dans les rues de Rennes dimanche soir. Après un rassemblement musical au vieux St Etienne, la manifestation a repris les rues du centre ville pour dénoncer cette expulsion, la loi travail et son monde en scandant de nombreux slogans. « Ja-ja-jamais deux sans trois », « Ils ont expulsés la maison du peuple occupée, ils pensent éborgner en (...)

Allez manger ailleurs ! "Dernière spécialité de l’enseigne B. à Rennes la soupe à la grimace, servie par des hommes en armes ! Ou comment privatiser la BAC au service d’un patron hystérique ?" Ce sont les réflexions qu’auraient pu se faire un-e passant-e mal intentionné-e au détour de la rue "de Bernard" en stationnant quelques instants devant le "restaurant" sus-mentionné. En effet, alors que nous étions une centaine, manifestant en toute tranquillité dans les ruelles ensoleillées du centre vile, (...)

Grosse manif à Rennes ! Avant le début de la manif, la conférence de presse d’Hugo, qui a reçu une nouvelle interdiction de manifester, suivie de la fouille de nos sacs aux abords de la place de Gaulle, nous rappelle que nous sommes soumis à l’état d’urgence, appliqué par un préfet zélé, en cheville avec une maire autoritaire - aux ordres de ses chefs Valls et autres - dont on sait maintenant qu’elle est "soutenue" par une majorité qui a fait acte d’allégeance. Quant à la manif, d’emblée on voit que (...)

La fête anticapitaliste du NPA Rennes se tiendra dans un contexte de forte lutte sociale. Depuis plusieurs mois, le mouvement contre la loi travail montre que l’on peut refuser les régressions sociales et combattre un système qui nous exploite et nous opprime. Nous l’avons scandé dans les manifestations, nous ne sommes pas de la chair à patron, nos vies valent plus que leurs profits !
A Rennes, les journées de grève, les luttes féministes, internationalistes, écologistes, pour la régularisation de (...)

Cet après-midi, P., arrêté sur le toit lors de l’évacuation de la Maison du Peuple, devait être jugé pour trois chefs d’accusation : rébellion, refus de relevé d’empreintes ADN, et mise en danger d’autrui. Ce dernier chef d’accusation a cependant vite été écarté en raison d’un vice de procédure. Pourtant, c’est bien sur cette dimension de la situation que se sont axées la majeure partie des questions du président.
La logique reste la même que lors des procès précédents : des juges sécuritaires qui se portent (...)