Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) - Ille et Vilaine (35)

UNE PRISE DE TETE ENTRE JEAN-PIERRE MERCIER (CGT-PSA) ET M. LE PEN

A l’émission "Des paroles et actes" en avril 2014

Podemos : un petit pas en avant

Après ces élections, tous les partis crient victoire, mais pas nous. Nous avons eu 15 sièges au Parlement régional, mais nous n’avons pas atteint notre objectif parce que demain, il y aura encore les 40 expulsions locatives journalières, un million de chômeurs andalous et un million d’enfants y vivant sous le seuil de la pauvreté »...
« Notre but est de gagner la majorité politique pour gouverner en faveur du peuple et avec le peuple comme sujet actif de son gouvernement. Tant que nous ne l’aurons (...)

Le gouvernement est sanctionné, UMP et Front National en profitent…

Au soir du 1er tour des départementales, Valls se félicite en fumant le cigare que le FN ne soit plus le premier parti (comme cela était le cas aux élections européennes), mais seulement le deuxième, et on utilise la méthode Coué pour démontrer que le PS résiste bien. Bref, tout est fait pour relativiser la raclée électorale monumentale du PS et la rupture entre la majorité de la population et les partis institutionnels qui se manifeste par une abstention de près de 50% et bien plus dans les quartiers (...)

Résultats du 1er tour et position pour le 2ème tour des élections départementales du Nouveau Parti Anticapitaliste (comité du pays malouin)

Le 1er tour des élections départementales confirme ce que nous pouvions craindre :
à nouveau un haut niveau de l’abstention,
un pourcentage important de votes blancs et nuls,
une réelle sanction des candidat-es de la « gauche institutionnelle » (PS, PRG, EELV) qui est éliminée du 2ème tour dans un nombre significatif de cantons et est en passe de perdre la direction de plusieurs dizaines de départements, avec un risque de bascule de celui d’Ille & Vilaine.
une progression en pourcentage (...)

Après le 1er tour des élections départementales

Le premier tour des élections départementales a été marqué par une forte abstention alors que tous les grands partis en avaient fait un enjeu national d’importance. Bien qu’en baisse par rapport au précédent scrutin, cela souligne la rupture entre les classes populaires, le monde du travail, et les partis institutionnels plus soucieux des intérêts des classes dominantes que de ceux de la population. Sans surprise, c’est une nouvelle claque dans les urnes pour le PS et sa politique soumise au Medef (...)

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